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4 ans après l'avoir découvert à sa sortie, ce superbe album n'a pas pris une ride. Et pourtant, les sonorités pleines à ras bord ne sont pas toujours ma tasse de thé. Mais là, quelle classe, quelle poigne, quelle passion dans cette musique. Rien à jeter, pour un album tour à tour sentencieux, énigmatique, souvent sombre, et tellement convaincant. Car son atout maître, c'est réellement sa force de conviction : Cosmograf sait très précisément ce qu'il veut dire, et il le dit à la perfection. Même quand on n'est pas dans l'état d'esprit du genre, il suffit d'y plonger les oreilles quelques minutes pour s'y retrouver très vite. En un seul mot : magistral.
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Magnifique album de progressif symphonique classique, sachant équilibrer les mélodies et les tensions, avec l’émotion en prime ... Un de mes coups de cœur de l’année 2011.
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Il n'y a qu'une chose qui ne va pas chez Cosmograf : c'est leur nom, qui ne colle pas à leur musique. Foin de rock spatial, c'est du bon, du très bon rock progressif, alternant passages musclés et plus calmes. Une belle variété d'atmosphère, la plupart du temps sombre et mélancolique. Très beau.
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Quelle claque ! Quel premier titre ! La mise en bouche est énorme, et le reste n'a pas grand chose à lui envier. Porcupine Tree n'est jamais très loin, mais le PT d'avant In Absentia, celui où le métal confinait à l'exception. Les progrès sont flagrants, après un premier album certes prometteur mais plutôt inégal. Ici, c'est comme dans le cochon : TOUT EST BON !
Une nouvelle baffe en 2011 : les polls de fin d'année vont confiner au casse-tête insoluble.
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Ca faisait longtemps que je n'avais pas mis une note aussi élevée à un album de "rock progressif". Cet album réussit le tour de force d'être accrocheur dès la première écoute et de supporter les écoutes successives. Incontournable !
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