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Très en phase avec la chronique : Galahad garde une certaine originalité, mais c'est toujours la même. Le procédé commence à montrer ses limites, et même si "The Long Goodbye" reste très agréablement accessible et dynamique, il fait montre d'une ambition beaucoup plus mesurée que "Seas of Change", par exemple.
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Nouvel album oui et non puisque celui-ci a été écrit et composé en même temps que son prédécesseur, d'où les analogies.
Galahad excelle toujours dans l'art de composer des mélodies passionnantes aux rebondissements multiples. Le tout est servi par des musiciens excellents, jamais avares de soli bien sentis. Rien de révolutionnaire dans le style, mais l'ensemble est tellement bien fait que l'on se laisse encore une fois emporter par la vague d'un néo-progressif luxuriant et bienfaisant.
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