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Ce nouvel album de Deep Purple voit le groupe revenir aux fondamentaux du hard rock des années 70. Les titres, ramassés, sont efficaces, les mélodies rentrent facilement en tête et le pied bat irrémédiablement la cadence sans même que l’auditeur en ait conscience. Efficace, assurément, plaisant, certainement, mais peut-être un peu trop sage, trop direct. Il manque les digressions, les impertinences qui font tout le sel d’albums comme "Machine Head", "In Rock" ou, dans un passé moins lointain, "Purpendicular", "Now What" ou "Infinite". "=1" n’en demeure pas moins un album plaisant mais sans surprise d’un groupe chevronné qui n’a plus rien à prouver.
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La présence de Daniel Lanois à la production est-elle en rapport avec la présence de titres bien plus ramassés qu'habituellement ? Avec des visées de diffusion radiophonique ?
Toujours est-il que malgré la qualité et la variété des compositions, je ressors frustré de l'écoute de cet album, la faute à un formatage un peu trop systématique des différents titres, ne laissant pas de place aux habituels développements et variations que l'on trouve dans la musique du groupe.
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Album intéressant, musiques très différentes de Trust. Bernie offre des choses nouvelles dans sa carrière solo. Je n'accroche pas à 100%, mais j'y trouve un certain plaisir. Je note le titre "Drôles de gens", sorti en 2000 sur l'album "Ni Dieu ni Maître", avec les mêmes paroles, même musique mais nouvelle orchestration.
Là où je suis déçu avec Bonvoisin, c'est que je ne comprends pas toujours le sens des textes.
Bel effort. Ca vaut bien un 3/5.
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je rejoins Kingeddie sur son appréciation , ce groupe fut grand , l'age aidant les ptis' vieux se sont calmés .
Les morceaux sont sympas pour la plupart mais ça s’arrête la , Gillian se la joue cool comme le reste du groupe , il n'a plus la force de pousser la gueulante et ça s'entend et se comprend , d'ailleurs celui ci refusait de reprendre "child in time" sur scène au moment du retour de Blackmore , ses capacités physiques ne lui permettant plus un tel effort
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Je sais que je vais m'attirer les foudres des fans mais bon... j'avoue que pour moi Deep c'était surtout Blackmore et Lord avec Gillan en hurleur... depuis longtemps déjà, j'ai écouté les opus avec Morse sans jamais être convaincu : pas de riff puissant,pas d'accroche mélodique et surtout pas de soli classico-rock emprunté à Bach !! Donc pour moi le Deep est dans le coma depuis presque 30 ans et les séquelles sorties depuis ne m'ont jamais fait bouger une oreille...ce dernier album n'échappe malheureusement pas à la règle : je me suis endormi bien avant le dernier morceau...en me réveillant,je me suis dit : c'est marrant ça ressemble à Deep Purple mais en moins bien... désolé..
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Très juste Chronique de Corto.
Je signalerai juste que Purple a eu l'excellente idée de conclure (hors titre bonus) ce dernier album par le tout premier titre du premier album de 1968 'And The Adress' qui n'est pas juste un instrumental posé là mais une belle façon de boucler la boucle.
Mais oui, voilà un très bel album, débarrassé de toute volonté de plaire à quelqu'un d'autre qu'à eux mêmes. 'Nothing At All' est un vrai bijou, posé là en fin de carrière au beau milieu de cet album, presque mine de rien. Qui d'autre aurait pu pondre un titre pareil ?!
Une fois encore Airey semble avec Paice le grand gagnant dans ce "Whoosh", juste devant Gillan et les autres. C'est bon, c'est frais, oui ça sonne parfois le déjà entendu (plus que sur "Infinite"), mais après plus de 50 ans de carrière, on peut comprendre.
Quoiqu'il en soit Bob Ezrin a beaucoup apporté depuis son arrivée au sein du groupe, qu'il en soit remercié.
Si c'est le dernier, c'est une belle façon de conclure.
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