|
|
|
J'aime énormément High Hopes dans son intégralité y compris certains titres décriés ici comme Lost for Words. Chaque album de Pink Floyd est différent et a un charme particulier. Chaque album invite au voyage, à la réflexion, au dépassement de soi. J'ai tant de bonheur à l'écouter encore et encore. Merci à David, Richard et Nick pour cet immense cadeau.
|
|
|
|
|
|
|
Incontournable album de Pink Floyd. C'est LA perle de la musique Psyche.
L'écoute est dure, oui, mais tellement libératrice en fin compte!!
Si on prend le soin de se mettre dans les conditions propices, Ummagumma rélèleva toute sa prochondeur aux oreilles de tout bon mélomane ouvert et averti.
C'est un álbum révélation pour moi que j'écoute depuis l'âge de 16 ans (et j'en ai 47!!)
|
|
|
|
|
|
|
Album de commande moins structuré que More mais avec une guitare rageuse ('Free Four') et des mélodies entêtantes ('The Gold It's In The') voire inquiétantes (le titre éponyme).
|
|
|
|
|
|
|
Un an sépare un album raté d'un chef d'oeuvre. Atom Heart Mother est un disque palindrome : débutant par une longue suite orchestrale avec un thème imparable (ponctué par des choristes : ''Au secours'' ''Grammatika Golgotha''), il se poursuit avec une ballade, puis par un morceau de Richard Wright très ambitieux (toujours avec ce son orchestral épique), et enfin une seconde ballade pour digérer. Car il s'agira bien de digérer le déjeuner psychédélique d'Alan Styles (et non Parsons, qui était bien derrière la console), longue suite psychédélique et expérimentale avec pour chant d'action, une cuisine (il paraît qu'une recette du déjeuner d'Alan Styles sera proposée). Les égarements erratiques et autres masturbations sonores semblent être réduits en cendres. Pink Floyd retrouve son chemin et livre un digne successeur à A Saucerful Of Secrets (More a un statut particulier et Ummagumma est une erreur).
|
|
|
|
|
|
|
Premier faux pas de Pink Floyd. Alors que les expérimentations hasardeuses du premier album avaient laissé place à une véritable suite dramatique très bien ficelée (l'éponyme A Saucerful Of Secrets), voilà que Pink Floyd glisse en arrière. Le live anecdotique mettant l'accent sur les expérimentations auraient pu dévoiler le projet du groupe d'emmener en voyage son auditeur, mais ce périple s'accomplit au plus profond de l'ennui, les compères de Roger Waters se contentant de prendre toutes les directions possibles pour nous faire croire qu'ils ne sont pas perdus. L'album studio laisse les mains libres à chacun des musiciens, ce qui sur le papier est un vrai challenge. Si Roger Waters s'en tire bien avec le reposant Grandchester Meadows, il commet un incompréhensible collage sonore Several Species, qui se complait en effets sonores superfétatoires (on est encore loin de One of these days), les autres musiciens sont bien en deça de leurs capacités. Nick Mason est limité par son instrument et semble lancer les dés au hasard Balthazar (ou Eugène). Le Sysyphus de Richard Wright, s'il démarre bien s'avère indigeste. Et que dire du chant de David Gilmour sur The Narrow Way, exsangue, dépourvu d'émotions... Au final, un album raté qui n'a de mémorable que sa pochette maintes fois copiées. Pink Floyd n'avait décidément pas les moyens de faire du Stockhausen.
|
|
|
|
|
|
|
Atom Heart Mother Part II. Deux morceaux ambitieux en première et ultime position, la forme du palindrome à nouveau éclairée. One Of These Days délire de psychopathe dans le vent et Echoes, exploration sous-marine de fables d'océans topographiques. Entre les deux, un San Tropez vaguement jazzy, deux morceaux soporifiques (avec un sample de l'hymne de Liverpool) et le meilleur du pire de Pink Floyd : Seamus, délire à la guitare sèche avec chant canin. L'équilibre entre pop et expérimentation était calibré sur le précédent album, ici il vole en éclats. Pink Floyd est surpris en flagrant délit de molesse et de remplissage.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|