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TITRE:

STORM ORCHESTRA (13 MARS 2025)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

ROCK



Deux ans après un premier album, les Français de Storm Orchestra reviennent en mieux avec "Get Better"...
STRUCK - 06.06.2025 -
11 photo(s) - (0) commentaire(s)

Formé en 2013, Storm Orchestra avait déjà fait parlé de lui à la faveur des sorties successives d'un EP "Deluxe" sorti en 2021 et un premier album "What a Time to be Alive" en 2023. Le trio made in France revient cette année et compte bien enfoncer le clou avec "Get Better"...




Quelle est la question qu’on vous a trop souvent posée et à laquelle vous auriez marre de répondre ?

Maxime Goudard : (Rires) Je dirais le nom du groupe. C'est toujours qui est la question basique.


Et on ne vous la posera pas. Seulement deux ans après votre premier album, vous voilà déjà de retour avec "Get Better". Ce rythme rapide est-il le reflet d'une inspiration débordante ou d'une envie de marquer rapidement votre empreinte dans le paysage rock ou encore la pression inhérente à la signature sur un label prestigieux comme Mascot ?

Maxime : Je crois qu'on avait quasiment déjà ce deuxième album au moment de la signature.

Loïc Fouquet : C'est une espèce de mélange de tout ça.

Maxime : On fait on compose un peu tout le temps.

Loïc : On est un peu une machine à sortir des trucs à tout le temps, les démos qui fusent… C'est principalement Adrien et Max qui composent ensemble -je suis un peu en retrait- mais les démos fusent régulièrement.
Quand on a signé chez Mascot en novembre 2023, on avait déjà quasiment l'album fini. Et ça tombait bien puisque Mascot avait la volonté d'enchaîner assez vite avec de la nouveauté.


Ils vous ont signé avec un album quasi-terminé. Cela signifie qu’ils n’avaient pas de droit de regard ?

Adrien Richard : Avant de nous signer, on avait déjà quelques morceaux. Ils avaient besoin de savoir si on avait de la matière. On leur a envoyé trois ou quatre morceaux. Ils ont trouvé ça mortel et c’était parti… Et comme on aime être dans l'action, on leur a dit qu’on pouvait avoir un album rapidement si bien que deux mois après, on l’enregistrait…


Grâce au premier album, on a compris ce qu'on aimait et ce qu'on n’aimait pas




Votre nouvel album, "Get Better", semble condenser l'essence même de Storm Orchestra avec des titres courts, percutants et des expérimentations sonores. C’était l’objectif de départ ou un aboutissement naturel de votre parcours ?


Maxime : Grâce au premier album, on a compris ce qu'on aimait et ce qu'on n’aimait pas. Ça nous permis d’aller beaucoup plus à l'essentiel de ce qu'on est sur le deuxième album. C'est vrai que comme tu dis : cet album réunit les deux extrêmes : plus nerveux et calmes en même temps…

Loïc : On est partis plus dans les extrêmes de ce qu'on aime. Il y a carrément une balade pour le côté pop et pour le côté plus dur, on a carrément fait un breakdown metal par exemple. Et l'avant dernier morceau ‘Victory’ est un titre super progressif, presque opéra. Ce n'était pas réfléchi forcément en avance, d'expérimenter.

Maxime : Je trouve que cet album est le résultat de plus de compos, d'une plus grosse masse de composition. Il y a eu plus de choix et c’était prévu : de composer plus, pour garder moins. Il y a eu beaucoup plus de travail en amont du studio avec notre producteur Bert (NdStruck : Bertrand Poncet, chanteur de Chunk ! No, Captain Chunk !) avec qui on a beaucoup travaillé les morceaux.

Adrien : Quand on fait des morceaux, j'aime qu'on fasse des morceaux très efficaces parce qu'on sait ce qu'on aime mais également faire des morceaux plus élaborés artistiquement c'est-à-dire éviter que le morceau en question se résume à couplet-refrain-couplet-refrain même si on adore ça et c'est l'essence même de la pop. Du coup, nous souhaitions proposer quelques morceaux qui montrent ce qu’on peut également faire… C’est de la recherche artistique mais ça se fait naturellement…


Vous évoquiez que vous aviez beaucoup plus composé pour cet album, comment avez-vous fait la sélection des morceaux retenus ? A-t-elle été faite dans l'optique d'une cohérence de l’album ?

Maxime : Avec le retour du vinyle, il a un retour de l'écoute linéaire d'un album.

Loïc : D’ailleurs, cet album a été pensé ainsi avec une phase A et une phase B.

Maxime : Ca a été assez naturel de savoir quels morceaux éliminer. Le débat a eu lieu sur un ou deux titres mais nous étions d’accord sur 90 % des chansons qu'on considère bonnes pour l'album.


On a essayé de créer un voyage !



Avec des morceaux comme 'Superplayer' et 'Crush the Mirrors', l'urgence est palpable. Cette intensité permanente est-elle un exutoire ou une manière de maintenir la tension chez l’auditeur tout le long de l'écoute du vinyle ?

Maxime : On a essayé de créer un voyage !

Loïc : Bert -notre producteur- dit qu’il faut partir d'un point A pour arriver à un point B. Si ça tourne en rond, l’album n'est pas forcément intéressant de notre point de vue. Après, avons-nous réfléchi dans le sens de "maintenir l'attention" ? Pas forcément. Je pense que c'est surtout l'essence des morceaux qui veut ça. Et tout compte fait, le premier album était déjà ainsi c’est-à-dire très tendu tout du long. Ces nouveaux morceaux font un peu écho à ce qu'on faisait sur le premier album. Il y a de la tension mais il y a également des respirations…


Le titre de l'album "Get Better" peut sembler paradoxal face à l'énergie brute de l'album. Est-ce une invitation à aller de l'avant ou une réflexion plus ironique sur notre époque ?


Maxime : L'ironie était dans le nom du premier album mais il n’y a pas d'ironie dans le deuxième : c'est un vrai "Get Better" assez littéral avec double sens à savoir le "Get Better" dans sens de guérir avec tous ces titres introspectifs et le deuxième sens de "Get Better" dans le sens de s'améliorer, essayer d'être une meilleure personne…

Loïc : … Un meilleur groupe.


Il y a donc deux lectures à savoir une pour ceux qui vous suivent et la seconde plus pour vous ?


Loïc : C’est possible ! Être de meilleures personnes et être un meilleur groupe en termes de collectif… En effet, il y a eu des changements dans nos vies : Adrien est devenu papa, on a eu des moments un peu difficiles pour certains…

Maxime : Être dans un groupe, c’est une des meilleures choses au monde mais c’est également très stressant : il faut donc gérer une certaine tension… Il ne faut pas oublier d'être dans la bienveillance entre nous…


Cet album comporte deux titres avec deux invités et notamment 'Crush The Mirrors' avec Bertrand Poncet de Chunk ! No, Captain Chunk !. Ce morceau dégage une puissance brute et une énergie presque hardcore, aussi bien dans la voix que dans certains passages musicaux. N'avez-vous pas craint de déstabiliser une partie de vos fans habitués à des morceaux plus mélodiques ?

Maxime : On a plus craint de déstabiliser avec le titre ‘Désolé’ qu'avec 'Crush The Mirrors'

Loïc : Mais non, on n’a pas craint au contraire, c'était carrément voulu. Le contre-pied était complètement recherché…


Justement, avec un tel titre, qui vouliez-vous plus retrancher dans ses derniers retranchements : vous ou votre public ?

Loïc : Les deux ! On a voulu prendre un risque mais finalement, on écoute du metal et la musique s’est durcie à savoir qu’entre ce qui était pop rock en 2020 -au moment de l’écriture du premier album- et en 2024 -quand on écrit le deuxième- ce n'est pas tout à fait la même chose.

Maxime : L'époque nous autorise à faire ce genre de choses.

Loïc : Quand on voit l’album de Bring Me The Horizon qui est un des étalons de ce que devient le rock moderne, on voit qu'ils s’autorisent énormément de choses et il n’y a pas de raison pour laquelle on ne se l’autoriserait pas aussi.


On ne va pas s'interdire de faire des choses !




... Sauf que vous prenez le chemin inverse…

Loïc : Justement en tant que groupe metalcore, ils prennent des risques incroyables et ils sont là où ils sont parce qu'ils ont intégré des éléments qu'ils n'utilisaient pas initialement. Et c’est ce que nous avons fait dans le chemin inverse en partant d'une musique plus easy listening à quelque chose de plus rentre-dedans… mais il faut savoir que ce sont également nos influences…

Adrien : Mais il faut surtout savoir que ça nous fait marrer, tout simplement. D'un point de vue musical, c’est juste fun. On ne va pas s'interdire de faire des choses ! Ça prend ou ça ne prend pas mais en tout cas, on a kiffé !


On en revient à la création de la liste des morceaux retenus pour cet album à savoir garder une cohérence au-delà du plaisir que vous avez eu à composer et enregistrer certains morceaux…

Maxime : Dans la construction du voyage de l'album, c'est hyper intéressant voire capital d’avoir ces variations.

Adrien : Du point de vue l’auditeur, c’est également intéressant,  c'est-à-dire qu’il peut être surpris par certains titres qu’il n’a pas vu venir et ainsi l’inciter à écouter la suite considérant qu’il pourra être à nouveau surpris.

Loïc : Et ça arrive au troisième morceau. ‘Bright Soul’a des sonorités un peu différentes mais ‘Drummer’, c'est l'essence même de ce qu'on sait faire et de ce qu'il y avait sur premier album -d'ailleurs, ce morceau a été écrit dans la période entre les deux albums et aurait pu figurer sur la réédition du premier album- et arrive le troisième morceau 'Crush The Mirrors' qui dit : "Vous avez eu du Storm Orchestra mais on sait aussi faire ça !".


Et il y a un autre titre 'Désolé' -porté par JJ Wilde- qui semble agir comme une pause au milieu du chaos avec son titre en français et ses paroles en anglais. Pourquoi cette dualité linguistique et cette respiration au cœur de l’album ?

Maxime : ‘Désolé’ au milieu de l'album, en tout cas pour le mot français, c'est pour le petit côté patriote (Rires) ! On cherchait un moyen de le dire discrètement… et c'est un mot français connu à l'international. Et c’est vrai qu'en plus, on a cette blague de traduire les morceaux anglais en français et de les chanter en français. Ca nous fait beaucoup rire.

Adrien : Un jour, verrez des vidéos cachées de Loïc et moi en train de refaire les morceaux en français (Rires) !

Loïc : Il y a donc cette petite blague mais au-delà de ça, c'est une respiration au milieu de l'album. Et comme on savait que c'était la première fois qu'on allait faire un vinyle avec notre label, on s'est dit que ce titre clôturait parfaitement la fin de la face A. Et ensuite, on enchaîne sur la face B avec ‘We Will Be The Last’ qui est également un contre-pied mais qui rappelle en même temps ce qu'on a pu faire sur le premier album comme ‘Criminal’ à savoir un titre un peu plus indus, un peu plus ambitieux.


Votre son semble particulièrement travaillé au niveau des effets de voix et des textures instrumentales, notamment sur des titres comme 'We Will Be The Last' et 'Our Victory'. C’est une volonté d’explorer de nouveaux territoires sonores, ou plus un jeu instinctif avec le studio ?

Adrien : C’était vraiment très instinctif. On a poussé ce qu'on avait instinctivement en nous. On l’a poussé jusqu'au bout et c’est le travail qu’on a fait avec Bert. D'ailleurs ‘We Will Be The Last’ est un bon exemple parce que c'est l'un des morceaux qu’on avait sous une forme de démo, on était convaincus sans l'être, on savait que ça pouvait donner quelque chose mais...

Loïc : … Le refrain, était là, il quasiment pas changé.

Adrien : Si on savait qu’on avait le refrain, on voulait le présenter -même s’il fallait un peu le travailler- mais on n'avait pas le reste… Par exemple, le riff a été récupéré d'un autre morceau, c'est une espèce de montage…   ‘We Will Be The Last’ fait partie des morceaux qui ont subi un peu de chirurgie.


Les cassures rythmiques et les montées en puissance rappellent parfois Muse ou Nothing But Thieves. Ces influences sont-elles assumées ou plus inconscientes ?

Loïc : C’est complétement assumé !

Adrien : Il y a également beaucoup de Biffy Clyro dans les chœurs mais on n'a absolument pas de gêne à assumer ces influences… Les groupes qui disent réinventer la musique n’existent pas : on entendra toujours des influences. Tu peux avoir ton propre style… Mais c’est le cas pour tous les groupes : avant d'entendre un groupe, on entend toutes les influences et ensuite, le groupe créé son propre style sur ces influences : c’est naturel !


On conclut l'album sur une grande fête !




Certains morceaux comme 'Trash The Room', ultra-speed et percutant en seulement une minute dix-neuf, contrastent avec des titres plus longs comme 'Our Victory'. C'était une manière d'équilibrer l’album ou plus une envie d’expérimenter différents formats ?

Loïc : C’est encore une blague ! C’est un délire avec notre ingénieur son live. C'est une espèce de mantra qu'on a gardé. On s'est dit que pour finir l'album, ce serait rigolo de faire comme avant c’est-à-dire les bonus tracks qui arrivaient après cinq ou dix minutes de blanc. C’est un peu ça sauf qu’à l'ère du streaming, tu ne peux pas te permettre de coller dix minutes de blanc : c'est compliqué également sur un vinyle sur lequel tu es limité en temps.
On s’est lancés dans ce morceau rigolo sur lequel c'est principalement Adrien et moi qui chantons -enfin qui hurlons- et puis on a invité tous nos potes le dernier jour de studio.

Adrien : On conclut l'album sur une grande fête !


C'est dans la contrainte que vient la créativité



Votre capacité à condenser autant d'intensité en moins de quatre minutes est remarquable. Est-ce une adaptation à l'ère des playlists et de l'écoute rapide ou est-ce tout simplement la musique avec laquelle vous avez grandi ?

Loïc : Dans la musique populaire, le format a toujours conditionné la durée c'est-à-dire à l'époque du vinyle, on pouvait partir sur des titres de cinq ou six minutes sans que ça pose de problème. Mais la radio avec ses formats de moins de trois minutes, le streaming qui est également sur les mêmes codes raccourcis.

Adrien : Aujourd’hui, il faut accrocher dès le début. C'est histoire d'efficacité ! On aime aussi la musique très efficace et puis, il faut se rappeler que la musique des Beatles durait 2 minutes 30…

Maxime : Mais c'est intéressant car c'est dans la contrainte que vient la créativité.

Adrien : Mais ça ne nous interdit pas de faire des morceaux comme ‘Victory’ au format moins radiophoniques : ce n’est pas couplet-refrain-couplet-refrain-pont-refrain… On peut faire les deux !


L’efficacité de vos morceaux semble stimuler votre créativité plutôt que la brider. Chaque riff et chaque refrain sont-ils conçus comme des punchlines pour marquer l'auditeur ?

Adrien : Je pense la musique ainsi ! Musicalement, j'essaye d'avoir un truc qui accroche ou qui surprend à chaque fois…


Et de la même façon, les expérimentations sonores, comme certains passages plus atmosphériques et les cassures rythmiques, semblent vouloir bousculer l’auditeur. C'est une manière de garder l'attention ou un simple besoin d'aller plus loin musicalement ?


Loïc : C'est surtout l'envie de proposer des moments de respiration. Et on profite de ces moments pour se faire un peu plaisir avec des trucs un peu plus alambiqués, mélodiquement, harmoniquement…

Maxime : Et notamment ‘Superplayer’ avec les chants des supporters de Newcastle : c'est super rigolo ! Initialement, on avait envie de mettre des chants de supporters et comme Loïc connaît tous les chants de supporters…

Loïc : … de Newcastle surtout !

Maxime : Le tempo de ce chant marchait très bien. Et le fait que Loïc soit fan de ce club, c'était intéressant. En bref, on ne s'interdit rien même s’il y a eu un gros débat (Rires)...

Adrien  : Mais ce sont surtout des éléments pour la deuxième écoute. A savoir que la chose qu’on capte à la première écoute, c'est le refrain… Ces éléments sont plus dirigés pour les gens qui écoutent de façon plus détaillée et répétée : il faut avoir des choses derrière, au second plan et même dans le troisième plan, avoir un petit rire, un truc faux qui serait resté là…


On ne s'adoucit pas, ce n'est pas parti pour !




Depuis votre premier album, votre son semble plus affirmé sans renier l'énergie brute des débuts. Était-ce une manière d'éviter le piège de la "maturité" souvent synonyme d'adoucissement ?

Loïc : Ah non, on ne s'adoucit pas, ce n'est pas parti pour !

Adrien  : Mais on essaie de garder le côté très simple de la guitare, basse et batterie même si ça reste quand même produit -le but est de ne pas donner l'impression d’avoir été enregistré dans une cave avec un micro… Sachant qu’il y a des groupes avec énormément de budget qui sonnent plus "brut". Pour le coup, notre musique sonne produit mais on essaie quand même le principal parce qu’il ne faut pas oublier qu’on joue en live par la suite. On n'est que trois, si tu n'as pas cette base guitare- basse – batterie de solide...

Maxime : On essaie d'éviter le truc trop produit et difficile à retranscrire.


D’ailleurs, vos morceaux semblent taillés pour le live avec leur énergie brute et leurs refrains fédérateurs. Qu'est-ce qu'on est en droit d'attendre de vos concerts ? Plus de furie, d'improvisation ou des versions encore plus puissantes de vos titres ?

Maxime : On est en droit d'attendre que le public participe et on adore ça !

Loïc : Il faut bien que quelqu’un chante les chants de supporters (Sourire).


Encore faut-il qu’ils les connaissent...


Loïc : On leur apprend. On a un petit moment où on leur apprend pendant deux minutes.

Maxime : En concert, on veut que le public ait envie de pogoter, de passer un bon moment et d'exorciser ses démons…


A cet égard, avez-vous des dates à nous annoncer ?

Maxime : Une petite dizaine de dates va être annoncée…

Loïc : … mais on joue le 28 mars à Cergy avec Ko Ko Mo. On rejoue à l'Olympia le 14 avril avec The Warning. Ensuite, on a trois dates avec le Royal Republic à Milan, Berne et Eindhoven. Et enfin, on a quelques festivals en France.





Après une telle entame, qu'est-ce que vous attendez pour la suite ?

Loïc : Dans l'ordre Zenith, Bercy, Stade de France (Rires)…

Maxime : En vrai, ça fait deux fois qu’on fait l'Olympia en première partie. Ce qu’on souhaiterait pour la suite, c’est le remplir sur notre seul nom.


Quand nous donnons-nous rendez-vous pour parler de la réussite de cet objectif ?

Maxime : C'est trop difficile !


Pour quel album ? Le troisième, le quatrième ?

Maxime : Espérons celui-ci (Sourire) !

Adrien  : Ça peut être celui-là comme ça peut être le troisième…

Loïc : C'est le public qui décidera.

Adrien  : Ce n’est plus entre nos mains…

Loïc : Quand tu vois Landmvrks qui viennent de remplir leur premier Olympia en tête d'affiche… C'est un long chemin surtout pour la musique alternative, le rock, le metal.  Ça force le respect et c'est cool d'avoir ces groupes locomotives de la scène rock générale même s’ils font du metal. Ça fait un moment que ce groupe tourne, on ne donc pas être trop pressé...


Enfin, on a commencé l’interview par la question qu’on vous a trop souvent posée au contraire quelle est celle que vous souhaiteriez que je vous pose ou à laquelle vous rêveriez de répondre ?


Maxime : "Alors ça fait quoi de jouer au Stade de France ?" (Rires)


Et quand se revoit-on pour que je vous pose cette question ?

Maxime : Le plus tôt possible !





On croise les doigts. Merci.

Storm Orchestra : Merci à toi.


Et merci à Calgepo pour sa contribution...


Plus d'informations sur http://stormorchestra.com/
 
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