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TITRE:

BLACK BOMB A (16 FEVRIER 2024)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

HARDCORE



A l'occasion de ses trente ans, Black Bomb A refait le monde avec "Unbuild the World"....
STRUCK - 15.03.2024 -
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Contrairement à d'autres, pour ses 30 ans de carrière, Black Bomb A a décidé de nous présenter un nouvel album qui -à l'image de notre société- pousse encore plus loin le curseur de la violence.





Black Bomb A revient avec ce nouvel album “Unbuild the World”. Il aura fallu plus de cinq ans pour qu’il succède au précédent, une éternité…


Sébastien Gobert "Poun" : Non, non c’est très bien ainsi (Rires) ! Non, mais dans les cinq ans, il y a deux ans de Covid quand même : c’était un peu compliqué cette histoire ! Après, pendant les périodes d’accalmie, on aurait pu choisir de sortir un album mais on se serait retrouvés comme des glands à ne pas pouvoir le défendre (Sourire)… Malgré tout, on a fait pas mal de dates, on a toujours continué à tourner quand c'était possible de le faire, et quand on a vraiment voulu se mettre à bosser sur un nouvel album, on s'y est mis rapidement parce que le timing était assez serré...

Samuel Taquet : On s’y est mis au mois de juin dernier : ça a donc été assez rapide !

Poun : Trois ou quatre mois de composition, sachant que Sam avait bossé en amont…

Sam : J’avais préparé des trucs et ensuite, on a fait des sessions de compos avec Jordan (NdStruck : Jordan Kiefer), notre nouveau batteur, Etienne (NdStruck : Etienne Treton), notre ex-nouveau bassiste (Sourire) sachant qu’il était avec nous sur les albums "One Sound Bite to React" et "From Chaos"… On s’est retrouvés en sortant de la tournée de dates avec Crowbar et du coup, on s’est mis directement sur ce nouvel album. Ça a été assez facile, assez rapide je dirais parce qu’il y avait beaucoup d’envie, beaucoup de motivation…


… Et les sujets ne manquaient pas…


Sam : … les sujets ne manquaient pas !

Poun : Il y a effectivement eu cinq ans (Sourire) : il y avait de la matière !


Comme Tagada Jones, vous fêtez vos 30 ans de carrière avec un nouvel album. En revanche, eux ont opté pour une réinterprétation / réorchestration de certains de leurs titres considérant que ça aurait plus d’impact qu’un nouvel album…


Poun : Ils n’avaient tout simplement pas l’inspiration pour faire un nouvel album : il faut quand même le dire (Rires) ! Ce sont des copains : je pense qu’ils vont comprendre la blague (Rires)…


On avait envie d’envoyer le steak !




Mais une telle option ne vous a jamais traversée l’esprit ?


Poun : On a déjà pensé à réinterpréter nos morceaux notamment en acoustique, on a même commencé à bosser dessus mais nous sommes passés à autre chose et avons lâché l’affaire parce que ce n’était pas du tout ce qu’on avait envie de faire en fin de compte…

Sam : Exactement et on avait envie de faire du neuf avec un nouveau batteur, un nouveau bassiste… : on avait envie de proposer autre chose !

Poun : On avait envie d’envoyer le steak (Rires) !


On essaie de réagir, de se battre contre tout ça mais est-ce qu’une chanson va faire bouger les choses ?


A ce titre, la pochette de l’album est très symbolique. Pensez -vous qu’on est tous un peu étouffés par tous les évènements actuels qui semblent presque nous rendre fatalistes voire être résignés (avec notamment une essence à presque 2€ et plus personne ne réagit quand il y a peu de temps à un prix de 1,50€, beaucoup étaient dans la rue) ?

Poun : Sommes-nous résignés maintenant ? Par la force des choses, nous le sommes un petit peu. Tu sais, quand on part sur la route et il faut mettre du gasoil dans le camion, on fait comme tout le monde…
Malgré tout, on essaie de réagir, de se battre contre tout ça, mais est-ce qu’une chanson va faire bouger les choses ? Mais quand tu fais un groupe et que tu écris des chansons, c’est pour exorciser tout un tas de choses et qu’il y ait une sorte de symbiose avec le public quand on les joue sur scène, parce qu’en fin de compte, nous sommes comme des éponges en reprenant ce que toute personne ressent…


Ce nouvel album a été enregistré entre les mythiques studios ICP à Bruxelles, et le studio Sainte-Marthe à Paris, réalisé par Francis Caste. Que vous a apporté cette manière d’enregistrer ?


Poun : En fait, c’est Verycords -notre label- qui nous a proposé de marquer le coup et d’aller faire nos batteries à l’ICP. On n’a pas refusé parce que c’est un super studio avec du matos de malade au niveau de la batterie mais pas que… Mais c’est plus Sam qui peut en parler parce que je n’y suis pas allé…

Sam : On n’y est allés trois jours avec Francis avec qui on n’avait jamais vraiment fait d’album du début à la fin…

Poun : … sur l’album précédent, on avait fait basse/ batterie et mix avec lui…

Sam : Du coup, je suis parti avec Jordan et Francis à l’ICP et c’est vrai qu’au niveau de la prod en elle-même, la room est exceptionnelle, le matos qu’ils proposent… tu as vraiment de quoi faire pour essayer d’apporter un truc différent…


On est tous prêts à se tirer dans les pattes pour de la merde !


Ce qui frappe à l’écoute de l’album, c’est l’entame musclée avec ‘People Hate People’. Le ton est très death metal que ça soit par le chant ou musicalement. On y retrouve un côté Slipknot des débuts avec de la hargne et même de la haine, c’était l’idée sur ce titre, frapper fort sur notre société ?

Poun : C’est toujours un peu compliqué de trouver l’ordre des titres dans un album. Et c’est vrai que ce n’était pas forcément le morceau auquel on pensait au début. Et on y a réfléchi, on a brainstormé tous les cinq et on s’est dit que ce morceau était fort dans son sens par rapport au titre, à l’écriture et il est le reflet total de notre société actuelle : on est tous prêts à se tirer dans les pattes pour de la merde ! Du coup, en y réfléchissant bien, c’était important pour nous de commencer par ce morceau !


C’est quand même un album intense où nous avons voulu pousser le curseur de la violence plus loin




C’est effectivement plus judicieux de commencer ce nouvel album par ce morceau qu’un des deux interludes présents…

Sam : Ce n’était pas l’idée (Sourire) !

Poun : L’idée des interludes est de respirer un peu, parce que c’est quand même un album intense où nous avons voulu pousser le curseur de la violence plus loin. Du coup, on avait besoin de ces interludes pour pouvoir partir de plus belle…


De la même façon, ‘The Fraud’ peut faire penser à la scène néo metal de Korn à Slipknot. Vous retrouvez-vous dans cette scène qui a marqué les années 2000 avec ce chant et ce côté violent mais teinté d’un groove certain ?

Poun : Complétement ! Dans la recherche du son et de la composition des morceaux, on est quand même restés assez proches de ce qui nous a fait kiffer dans les années 1990/ début 2000 et ça peut passer par Slipknot, Korn et d’autres comme Biohazard, Sepultura, Nailbomb et j’en passe…


‘Crashboys’ peut également surprendre, avec le chant suraigu et un côté mécanique. On retrouve un ton plus industriel qui peut évoquer Ministry, il y a la même rage, une énergie brute et froide très forte. Vous retrouvez-vous dans cette idée ?


Poun : Alors je n’aurais pas pensé à Ministry, mais pourquoi pas… Mais ce côté high de la voix n’est pas forcément sur tous les morceaux, il n’y a vraiment que sur ce morceau qu’il est assez perché en terme de voix… Je pense que c’est ce qu’il fallait sur ce morceau, j’avais envie de le faire ainsi et c’est comme ça qu’il devait se faire…


Dans un registre proche, ‘The Smell of Napalm’, avec son côté lancinant et glacial peut aussi évoquer cette idée industrielle. Ce côté froid est parfait pour bien faire passer votre message ?


Poun : Tout à fait ! Ce côté société de consommation, très indus avec des numéros sans émotion et où tout est programmé (Sourire)…


A l’époque, on ne montait pas un groupe pour juste monter un groupe et faire de la musique…




A cet égard, cet album est un véritable coup de poing rock face à l’oppression et l’injustice. Malheureusement, en trente ans rien n’a changé. N’êtes-vous pas gagné par une forme de lassitude ?


Poun : A l’époque, il y avait une essence quand on faisait un groupe de rock. A l’époque, on ne montait pas un groupe pour juste monter un groupe et faire de la musique…


Il y avait un côté revendicatif qui a quasiment disparu de nos jours…

Poun : Mais même, les nouvelles générations d’auditeurs écoutent du metal pour quelles raisons ? Pas pour les mêmes raisons qu’un jeune écoute du rap…


Effectivement ce côté revendicatif est désormais plus porté par la scène rap. Mais voyez-vous une relève pour reprendre le flambeau de cette manifestation musicale de la colère ?

Sam : Il y a de nouveaux groupes de metal qui émergent en France : c’est clair !


Et plus dans votre mouvance ?


Poun : Dans notre mouvance, il y a Locomuerte, un très bon groupe qui a cette putain d’énergie et qui a encore cette façon de penser. Il y a aussi Pogo Car Crash Control qui est un groupe qui revendique et qui a cette énergie très 1990… Il y a plein de groupes dont certains que je ne connais pas encore et qui vont -j’espère- arriver…

Sam : Clairement ! Après, j’ai envie de dire que nous ne sommes plus dans les années 1990, la période actuelle est bien différente : à l’heure d’Internet, les gens n’ont plus la même manière de communiquer… Je me souviens des années 1990 où la façon de communiquer était de se retrouver le soir à la gare pour boire des bières et refaire le monde…

Poun : Tu parles de l’époque de Myspace (Rires) ?

Sam : A l’époque Myspace n’existait même pas : on n’avait pas Internet, il y avait peut-être les SMS sur les vieux mobiles Motorola (Rires) ! Il y a encore plein de groupes avec ce côté revendicatif comme Locomuerte mais c’est vrai que dans le hip-hop, ils sont un peu plus dans ce truc…


Enfin, il y a des titres puissants comme ‘Raise No Flag’, ‘Blowing Up’ et ‘Silent No More’ qui retournent à votre parfait mélange entre thrash et hardcore. Comment on garde un tel feu sacré après tant de temps et éviter l’écueil de la redite ?


Poun : On a souvent cette peur de faire de la redite. Je pense qu’il faut rester des auditeurs avant tout - même si c’est très difficile - parce que c’est toi qui crée cette musique. Il faut s’imaginer l’auditeur, le mec en face de toi quand tu fais tes premiers essais de riff…


On a composé énormément de morceaux qu’on a mis à la poubelle !


Vous arrive-t-il que même si ce riff marche très bien, vous ne le gardiez pas parce que dans la redite justement ?

Sam : Bien sûr !

Poun : C’est arrivé plein de fois pour cet album. On n’en parle pas mais c’est vrai que pendant ces cinq ans -on dit qu’on a glandé etc., mais pas tant que ça finalement- on a composé énormément de morceaux qu’on a mis à la poubelle ! On a également ressorti de vieux riffs qui s’avéraient mortels…

Sam : On a ressorti de vieilles idées, on a tricoté un petit peu… c’était sûrement parce que ce n’était pas le bon moment, on n’avait pas encore le bon feu pour que ça pète vraiment !


Il faut savoir se renouveler et avoir l’envie de regarder devant…




Est-ce plus difficile de rester frais…

Poun : … après trente ans (Rires) ? Après, tu t’inspires quand même aussi -je veux dire que nous restons des auditeurs, des fans de musique avant tout- nous écoutons toutes les nouvelles vagues qui arrivent…

Sam : Tout à fait ! Et l’envie de ne pas se répéter pour ne pas refaire un album qu’on a déjà fait : il faut savoir se renouveler et avoir l’envie de regarder devant…


Mais n’est-ce pas trop compliqué ?

Sam : Ouais, il n’y avait pas la bonne vibe

Poun : Comme tu le disais : on n’avait pas le feu. Tout est une question de ressenti et faire un album pour faire un album et arriver en studio sans rien : les gens le ressentent aussi… Il y a quand même une magie qui doit se faire : outre d’avoir des morceaux, il faut les sentir ces morceaux, les respirer…

Sam : Il faut que ça nous foute les poils à nous-mêmes avant tout chose : si tu ne le sens pas, il ne faut pas le faire surtout pour un groupe comme le nôtre…


D’ailleurs, toujours dans cette idée de fraîcheur, la nouvelle section rythmique que vous avez évoqué en début d’interview semble avoir dynamisé votre propos. Etes-vous d’accord avec cela ?

Sam : Ne le dis pas trop fort, ils vont être flattés (Rires) !

Poun : C’était une envie aussi. Hervé (NdStruck : Hervé Coquerel, batterie) a quitté le groupe parce qu’il était fatigué -ça faisait vingt ans qu’il était avec nous, quarante avec Loudblast- et je le comprends tout à fait, il n’y a aucun souci : on reste amis… Mais quand on a contacté Jordan, on savait qui on contactait, on n’allait pas reprendre une pâle copie d’Hervé, on voulait quelqu’un avec un autre jeu de batterie, avec une nouvelle énergie…

Sam : … une nouvelle présence…


Et cela vous a aidé à trouver l’orientation de compositions plus fraîches ?


Sam : Evidemment ! Il nous a apporté sa patte. Il est plus jeune que nous, il a écouté des choses différentes, il n’a pas la même approche : il est d’une autre école…


Et il a participé à l’écriture ?

Sam : Bien entendu ! Tout le monde a son mot à dire !

Poun : On est tous auteurs/compositeurs dans Black Bomb A.

Sam : On tient à ça !

Poun : Que chacun apporte sa pierre à l’édifice. Ils ont bossé tous les trois sur la musique et Arno (NdStruck : Arnaud Dhenain) et moi avons bossé sur les textes…


Mais cette démocratie n’est-elle pas compliquée à gérer au moment de la composition ?


Poun : C’est très compliqué, la démocratie (Rires) ! On a vite compris que la démocratie était de la merde dans un groupe, on laisse donc faire ce qui savent mieux faire mais on essaie que chacun apporte sa pierre à l’édifice !

Sam : C’est ouvert et ça doit le rester !


C’est vrai qu’entre Arno et moi, il y a une vraie différence vocale


On a parlé musique mais la complicité entre toi et Arno est toujours aussi épatante. Vos deux voix sont naturellement complémentaires et impressionnantes : on a l’impression d’écouter une sorte de combat, comme une joute vocale amicale…


Poun : La Belle et la Bête, tu veux dire (Rires) ? Non… Rox et Rouky alors (Rires) ? Plus sérieusement, ça a toujours été comme ça dans Black Bomb A. Au tout début, c’était Djag (NdStuck : Djag/ Franck Visée) et moi, mais c’était moins flagrant au niveau des voix. Puis, il y a eu Shauny (NdStruck : Shaun Davidson) mais c’est vrai qu’entre Arno et moi, il y a une vraie différence vocale : lui, très grave et très aigu pour ma part…


Black Bomb A n’est pas qu’une question de musique


Avez-vous conscience de l’impact de votre duo, de la force dégagée ? Comment expliquez-vous ce lien si fort, quasi-fraternel entre vous deux ?

Poun : Je dirais entre nous deux, mais entre nous cinq de façon générale, parce que Black Bomb A n’est pas qu’une question de musique parce qu’il part d’une histoire d’amitié en fin de compte… Donc oui, ce duo de voix est très distinctif mais s’il n’y avait pas la musique derrière qui le soutient, ça ne fonctionnerait pas. Ça pourrait être d’autres musiciens : Arno et moi pourrions chanter avec un autre groupe mais ça ne fonctionnerait pas non plus parce qu’avec Sam, Etienne, Jordan désormais, on sait comment on fonctionne.
Black Bomb A, c’est de la musique mais il y a d’autres choses plus profondes qui font qu’on arrive à jouer ensemble.


Je rebondis sur ce projet de réinterpréter vos morceaux en acoustique que vous évoquiez en début d’interview. Autant, on a l’habitude de voir des instruments passer en acoustique…


Sam : Ce n’est pas toujours un exercice facile mais ça peut se faire…


… mais c’est plus rare de retranscrire des chants extrêmes dans cette configuration. Comment aviez-vous envisagé la chose ?

Poun : On l’a fait une fois sur ’No1noise’, le morceau ‘No One Knows’ extrait de l’album "Speech of Freedom" qu’on a transformé pour une compilation. On l’a transformé de façon acoustique avec d’autres mélodies mais qui restent très proches de l’originale.


Mais vous avouerez que cette dualité de voix en acoustique est difficile à imaginer…

Poun : Oui, mais en même temps, ça pourrait être très original de garder cette intensité vocale tout en jouant de la guitare acoustique derrière (Sourire)… Mais on l’a également fait sur ‘Into the Void’ (NdStruck : extrait de l’album "Comfortable Hate")…

Sam : Mais ‘Into the Void’ est vraiment un morceau acoustique, il n’y avait pas de version énervée ! Mais encore une fois, tout est question de ressenti…


Toujours concernant ce duo vocal : cela fait trois albums que vous vous êtes retrouvés et on n’imagine plus vous voir séparés comme ce fut le cas…


Poun : De toutes façons, on est condamnés à rester ensemble (Rires) !


Et finalement quelles sont vos attentes pour cet album qui fête vos trente ans d’existence ?

Sam : Plein de concerts !

Poun : Plein d’argent (Rires) !

Sam : Plein de fêtes, plein de sourires des gens qui sont en face de nous… du kiff quoi, tout en essayant de faire passer des messages…

Poun : Mais c’est effectivement kiffer avant tout ! Croiser encore plein de monde, remplir des salles et tout péter dedans…


On veut vraiment se concentrer sur notre dernier album parce qu’on veut le défendre avant tout… mais c’est vrai qu’on a une carte à jouer pour nos trente ans !




A ce titre, on peut voir des affiches Mass Hysteria qui annoncent une tournée des 25 ans. Allez-vous tourner sur le nom de cet album ou pour vos 30 ans ?

Poun : On veut vraiment se concentrer sur notre dernier album parce qu’on veut le défendre avant tout… mais c’est vrai qu’on a une carte à jouer pour nos trente ans !

Sam : On en parle beaucoup : on va voir ça mais pour l’instant, on se concentre sur ce nouvel album...

Poun : On a d’ailleurs une nouvelle tournée prévue avec des dates qui commencent en mars et puis, à la rentrée, en septembre, une tournée européenne va se lancer…


Justement, lors de la précédente interview, vous évoquiez un second chapitre pour le groupe consistant notamment en une tournée à l’international. C’était compliqué pour le précédent album en raison du Covid mais comptez-vous exaucer ce vœu avec ce nouvel album ?


Sam : On a effectivement quelques dates à l’étranger cette année : c’est prévu, on est en train de travailler dessus !

Poun : Malgré tout, sur l’album précédent, nous sommes partis à l’étranger avec Crowbar pour une petite tournée mais c’était plutôt cool ! On a repris sur l’étranger et ça fait du bien ! Mais oui, la tournée à l’étranger est en train de se monter pour septembre/ octobre…


Plein de bonnes choses en perspective…

Poun : Plein de bonnes choses : y’a du taf et du bon taf ! Ca va être bien cool (Sourire) !





Comme l’album ! Merci…


Black Bomb A : Merci à toi, c’était cool !


Merci à Noise et Calgepo pour leurs contributions...


Plus d'informations sur https://www.facebook.com/blackbomba.officiel
 
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