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TITRE:

IN FLAMES (18 JANVIER 2019)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

DEATH METAL



Et de 13 pour les géants suédois du death metal ! Avec "I, The Mask", In Flames est de retour plus fort que jamais. Rencontre avec le chanteur Anders Fridén.
DARIALYS - 15.02.2019 -
11 photo(s) - (0) commentaire(s)

Né en 1990 en Suède, le groupe de death metal In Flames a parcouru bien du chemin. Considéré comme un géant de la scène metal suédoise, le quatuor parvient encore à poursuivre sur sa voie et à exceller dans son art avec son treizième album, "I, The Mask". Andres Fridén, chanteur, leader et co-compositeur du groupe, est venu nous présenter cet album, parler du futur, de sa joie de faire partie du groupe aujourd'hui, et de bien d'autres choses que l'on vous laisse découvrir !




Avant tout, j'aimerais te dire que j'ai particulièrement aimé ce nouvel album.

Anders Fridén : Merci ! Ça fait plaisir !

 

Si Björn quittait le groupe, je partirais.


La dernière fois, quand nous avions interviewé Björn (Gelotte, guitariste du groupe, ndlr), nous avions parlé du départ de Daniel (Svensson, ancien batteur d'In Flames parti après la sortie de l'album "Siren Charms" paru en 2014, ndlr). Björn nous a dit qu'il n'imaginerait pas le groupe sans toi. Dans ton cas, pourrais-tu jouer dans In Flames sans Björn ?

Non, je partirais. S'il quittait le groupe, je partirais.


Peut-on dire que vous êtes le noyau dur d'In Flames à vous deux ?

Ce n'est pas très juste d'employer ce terme. On écrit les musiques, certes, mais sans Niclas (Engelin, le guitariste, ndlr), Bryce (Paul, le bassiste, ndlr) et Tanner (Wayne, le batteur, ndlr) maintenant, on ne serait pas aussi bons qu'on l'est. C'est toute une collaboration. On a tous trouvé notre place dans le groupe. On a eu plusieurs périodes. Il y a des membres qui sont arrivés et repartis. Quand Jesper (Strömblad, ancien guitariste, ndlr) est parti, alors qu'il écrivait de la musique avec Björn, ça a été un sacré changement. Avec Björn, on est ensemble dans le groupe depuis l'album "The Jester Race", (le deuxième album du groupe, paru en 1996, ndlr). C'est donc un groupe que l'on connaît très bien. Je pense que ce serait difficile pour les fans d'entendre une voix différente sur nos chansons par exemple. Même si c'était une meilleure voix ! Si Björn partait, ce ne serait plus pareil. Me concernant, je ne serais pas là simplement pour payer mes factures ou pour rendre certaines personnes contentes. Je fais ça car ça me plaît. C'est ma vie, c'est ça que je fais, j'ai besoin d'être heureux, et je suis très heureux d'écrire de la musique avec lui.

Comment expliques-tu qu'il soit si difficile pour tous les groupes de garder leur line-up original ? Tous les deux, vous faites partie des rares à avoir réussi. Comment expliques-tu ça ?

Il ne faut pas être tout le temps ensemble. A part quand on fait de la musique, on ne passe pas beaucoup de temps ensemble.

 

Dans un groupe, chacun a des sentiments différents. C'est pour ça que certains sont partis, on n'a jamais viré personne.


Avec In Flames, la difficulté est donc de vivre tous ensemble ?

Il n'y a pas de difficulté à proprement parler. Dans un groupe, les gens s'attendent à ce que les musiciens sortent ensemble tout le temps. Dans d'autres milieux, tu ne gardes pas ton métier pendant 20 ou 30 ans ! Tu changes d'emploi au bout d'un moment, mais pas nous. Moi, j'ai fait ce métier toute ma vie ! Au final, je trouve que chacune des secondes vécues valait le coup. Dans un groupe, chacun a des sentiments différents. C'est pour ça que certains sont partis, on n'a jamais viré personne. Ce sont des situations de vie, ce sont des choses qui arrivent. Je ne voudrais jamais être dans un groupe à passer mon temps dans mon propre tour bus personnel, ne voir les autres musiciens que sur scène et aller me reposer dans mon coin privé sans personne, uniquement parce qu'il y a une grosse société derrière qui me dicte quoi faire et qui me dise : "cette machine doit continuer car nous avons besoin d'argent ! Il faut faire ci, il faut faire ça !". Je l'ai déjà vu chez certains groupes, mais ce n'est pas ce que j'ai envie d'être. In Flames, c'est un groupe collectif. Quand on est sur scène, tout le monde peut parfaitement jouer, mais 60% du travail, ce sont les interactions sociales.


En novembre 2017, vous avez sorti un EP de 4 titres (intitulé "Down, Wicked & No Good", ndlr) reprenant des titres de Depeche Mode, Chris Isaak… C'est une sorte de jardin secret. Est-ce que vos goûts ont évolué avec le temps, et toi, comment te sentais-tu à l'idée de reprendre un morceau de Chris Isaak, qui a une voix de crooner chaleureuse et profonde ? C'était un morceau délicat à reprendre !

Une reprise est ta propre interprétation d'une chanson. Le but n'est pas de copier. Je peux chanter comme Chris Isaak, mais pour moi, la partie la plus difficile a été de reprendre Alice In Chains (avec le morceau 'Down In A Hole', ndlr), car c'est l'un de mes groupes préférés de tous les temps. C'est assez stressant de reprendre un morceau d'un groupe comme celui-là ! Comment reprendre un morceau qui est déjà parfait ? Tu ne peux que détruire le morceau ! Mais il faut lâcher prise et se contenter de le faire, de faire sa propre version. Faire cet EP, ça a été un vrai plaisir. On a été au Japon où on a joué notre premier concert pour la tournée de l'album "Battles" (sorti en 2016, ndlr). On a passé une semaine aux Etats-Unis avant que la tournée américaine ne démarre, et au lieu de rentrer chez nous, Björn a dit : "Allons à Los Angeles pour enregistrer des chansons !". On a donc fait ça avec l'équipe du moment. C'était un vrai amusement, c'était très facile.

 

Ça fait plaisir d'être de retour dans l'équipe de Nuclear Blast, c'est un peu notre maison d'une certaine manière


A propos de "Battles", cet album témoigne de votre retour sur le label Nuclear Blast, et ça a été un vrai succès. Ce retour semblait-il logique et être la meilleure chose pour vous ? Avec le recul, ne penses-tu pendant que vous avez perdu du temps en quittant ce label (pour signer chez Sony, ndlr) ? Ne penses-tu pas que l'album "Siren Charms" (paru en 2014, ndlr) aurait bénéficié d'un meilleur soutien si vous l'aviez sorti chez Nuclear Blast ?

Eh bien… C'est toujours facile de parler du passé ! On ne peut pas vraiment savoir. Nuclear Blast, ce sont eux qui nous ont donné l'opportunité de toucher un public plus large. Mais au fil du temps, les relations que tu peux avoir dans ce genre de labels peuvent évoluer. On a sorti "Siren Charms" chez Sony, en Europe, en pensant toucher un public plus important encore. Et puis il s'est passé des choses, le genre de choses qui n'arrivent qu'aux autres et dont tu entends tout le temps parler ! Ça nous est arrivé. On a été dans le flou, on ne savait pas quoi faire. Ce sont des merdes qui arrivent dans ce business. En tout cas ça fait plaisir d'être de retour dans l'équipe de Nuclear Blast, c'est un peu notre maison d'une certaine manière.
 

"Battles" a été un album très dynamique. C'est un compromis parfait des différentes ères d'In Flames et de votre son. Avec le recul, penses-tu que cet album est l'essence-même de In Flames ?

(Rires) Je pense que chaque album représente bien In Flames !

 

Grâce aux fans, on a voyagé à travers le monde et bu des bières aux quatre coins de la planète !

 

Ce que je veux dire c'est que vous avez sorti beaucoup d'albums. On est très heureux d'être avec vous aujourd'hui car In Flames est l'un des rares groupes à faire évoluer sa musique à chaque nouvel album. Votre nouvel album n'est jamais une copie de ce que vous avez fait précédemment, vous ne jouez pas ce que l'on attend de vous.

Il faut réaliser que l'on écrit pour nous-mêmes. Nous adorons nos fans ! Je n'oublierai jamais la chance que l'on a eue. Grâce aux fans, on a voyagé à travers le monde et bu des bières aux quatre coins de la planète ! Ecrire et jouer la musique que j'aime, c'est mon travail. C'est la plus belle des passions ! Chaque album est une représentation de nous-mêmes à un moment précis de nos vies. Je ne peux pas choisir un album de notre discographie en particulier et dire : "Celui-là, c'est celui qui ressemble le plus à In Flames !". Chaque album représente la situation à un temps donné. J'aime regarder droit devant. J'aime le passé, il nous a mené jusqu'ici, et maintenant, on en est à "I, The Mask" (le nom du nouvel album sorti en 2019, ndlr) qui est le concentré de ce qu'est In Flames maintenant, tout comme "Battles" était le concentré de ce que l'on était à cette époque-là. A l'époque, on n'en était pas au stade d'aujourd'hui avec "I, The Mask".


J'imagine qu'à chaque sortie d'album, des fans se sont dit : "Ce n'est pas le genre d'album que j'attendais de la part d'In Flames". Et aujourd'hui, tu me dis que vous avez bien fait de sortir chacun de ces albums car les fans ne s'y attendaient pas. Au final, après plusieurs écoutes, les fans réalisent finalement que l'album était bon et qu'ils avaient besoin d'un temps d'adaptation pour l'apprécier réellement. Il y a toujours des fans déçus au moment de la sortie d'un disque, et finalement, quelques années plus tard, ils se disent que cet album est le meilleur.

Les choses changent. Les gens ont été déçus quand "Whoracle" est sorti (en 1997, après "The Jester Race" qui a été acclamé à l'unanimité un an plus tôt et qui est aujourd'hui encore considéré comme le meilleur album du groupe par beaucoup de monde, ndlr) car ça ne sonnait pas comme "The Jester Race". Au début, ça m'atteignait, mais depuis, j'ai laissé tomber car je ne peux pas contrôler ce genre de choses.

 

Je suis plus heureux que jamais d'être dans ce groupe en 2019


Aujourd'hui, vous devez être fiers de tous ces albums, de votre discographie et de votre évolution. Il y a des fans qui critiquent bien sûr, certains vont dire : "C'est un bon album, mais ce n'est pas mon préféré", mais tous les albums sont bons !

D'une manière générale, je suis content qu'on soit toujours dans ce milieu et qu'on continue de faire ça. J'aime ce que je fais. Je suis plus heureux que jamais d'être dans ce groupe en 2019. On part en tournée et je sais que le calendrier est déjà plein à craquer jusqu'à Noël prochain. C'est un super sentiment. Je suis fier mais je ne peux pas trop me reposer non plus. Je suis un peu dans une bulle, je vis pour In Flames, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. C'est génial que les fans soient déçus ou contents ! Ça les faire parler des albums. Ce serait terrible si personne ne se souciait de nous !


Ce nouvel album, "I The Mask", traite de l'être humain et de sa relation avec la technologie. J'ai l'impression que tu cries une colère mêlée à du désespoir, comme si la rébellion était présente, mais vaine. Considères-tu qu'il n'y a pas de solution pour notre planète ?

Eh bien… C'est difficile à dire, je suis Anders, un mec qui vient de Suède. Je n'essaye pas d'embarquer les gens avec moi.


Mais tu chantes dans cette optique-là !

Oui, c'est vrai ! Je comprends ce que tu veux dire.

 

Avoir des enfants et les voir grandir dans ce monde me fait peur parfois

 

Ça ressemble à une révolution en tout cas !

C'en est une, c'en est une ! Nous allons dans la mauvaise direction et il faut changer de cap. Beaucoup de scientifiques nous ont prouvé que ce phénomène s'accélère bien plus vite qu'on le croit. Il ne nous reste que quelques années pour agir, autrement, la situation sera irréversible. Avoir des enfants et les voir grandir dans ce monde me fait peur parfois.


J'ai exactement le même sentiment que toi. Je pense à mes enfants et au futur. C'est horrible de voir la planète qu'on va leur laisser.

Oui. Quand j'étais plus jeune, on déconstruisait les murs qui nous entouraient. Aujourd'hui, on les reconstruit pour certaines raisons. Les gens se pointent du doigt en disant : "Tu as fait ça mal !". Tu ne peux rien dire car si tu le dis, des millions de personnes t'accablent. Tout le monde essaye absolument d'être politiquement correct, c'est fou ! Le masque dont je parle (dans le nom de l'album, ndlr), c'est le masque que l'on porte tous pour s'adapter à certaines situations. Plus rien n'est vrai à présent. Les choses que tu vois peuvent être détournées de la réalité. C'est fou et ça fait peur ! Et en même temps comme je le disais, je suis un vieil homme blanc qui vient de Suède ! (Rires). De quoi puis-je me plaindre ? J'ai un super métier : voyager dans le monde et boire des bières avec mes amis ! C'est plus une observation que je fais et que je transmets aux gens. D'une manière générale, dans la musique et les paroles, je dis ce que j'ai à dire, j'utilise beaucoup de métaphores. Je le donne aux gens qui en font ce qu'ils veulent, qui se l'approprient.

Il y a de la mélancolie sur 'All The Pain' et 'Stay With Me'. Il y a des chansons touchantes. A l'inverse du masque, il semblerait que tu révèles ton visage et que tu enlèves ton propre masque.

C'est exactement ça, je pense que c'est ce qui est important. Le seul moyen de guérir est de s'ouvrir aux gens.

 

Je peux avoir eu une horrible journée et monter sur scène, crier ma rage pendant 1h30, et me sentir en super forme à nouveau


Il semblerait que plus que jamais, tu mets toutes tes tripes dans ces morceaux. Quand on écoute ces morceaux, c'est presque autobiographique !

Je vois ce que tu veux dire. Il faut sortir cette énergie pour ne pas la garder à l'intérieur. C'est une thérapie pour moi d'écrire cette musique et de chanter ces paroles. Je peux avoir eu une horrible journée et monter sur scène, crier ma rage pendant 1h30, et me sentir en super forme à nouveau. Pour moi, c'est un exutoire. Ce qui est super est que tu peux le partager avec beaucoup de monde. Si tu oses dire les choses, alors quelqu'un d'autre va ressentir les mêmes choses que toi. Cet album est là car nos fans sont présents. Comme je l'ai dit tout à l'heure, plus tu prends de l'âge et plus tu es dans ce milieu, plus tu savoures ces moments-là. C'est très important. En même temps, je ne suis pas mieux que les autres, j'utilise des masques moi aussi. Mais je n'aime pas parler de chaque chanson individuellement et décortiquer tous les morceaux, toutes les paroles, en détail, sinon ça détruirait le mystère et le sens de ces chansons. Si je dis : "ce morceau veut dire telle chose", les gens vont se dire : "ok". Au contraire, je veux que les gens réfléchissent et s'approprient les morceaux.


Tu mélanges très facilement le chant saturé et clair sur cet album. Est-ce que tu t'entraînes dans le but d'être aussi fluide ? Est-ce que le growl n'est pas plus difficile avec le temps ?

(Rires) Non, le growl est plus facile que tout le reste ! Je pourrais faire ça jour et nuit, ou en me réveillant au beau milieu de la nuit sans problème ! C'est ce que j'ai toujours fait. J'ai pris beaucoup de leçons sur cet album et sur "Battles" aussi. Le but était de comprendre ma voix et de l'entretenir, mais il y a beaucoup plus de choses à savoir que la seule manière de chanter. Il faut connaître le corps, savoir comment respirer et se détendre, savoir comment ne pas trop stresser s'il y a des notes très aiguës à chanter, laisser son corps faire le travail sans trop s'en préoccuper, ce genre de choses. Un peu comme si je postulais au prochain "La France a un incroyable talent !". Je n'essaie pas d'être en compétition avec quiconque, je n'essaie pas d'être le meilleur chanteur du monde. J'essaie simplement de comprendre mon instrument. Si j'étais guitariste, je voudrais tout savoir sur la guitare. Je me suis beaucoup entraîné pour sortir cet album, mais ça a rendu tout le processus plus fun pour Björn et moi quand on l'a écrit ! On sait quels sont les meilleures tonalités sur lesquelles je peux chanter, on sait quelles octaves je peux atteindre. Parfois, on change la musique pour que ça colle au chant, parfois c'est l'inverse.


Sur cet album, il y a un bon équilibre, une dualité entre colère et tristesse.

Oui, ça a toujours été le cas sur les albums d'In Flames.


Quand la musique devient heavy, vous le faites avec une force que l'on n'avait plus entendue depuis longtemps. Ce côté heavy auquel on ne s'attendait pas vraiment, est-ce lié à la rage, à la colère que tu éprouves concernant ce sujet ?

Je crois effectivement que la musique doit coller aux paroles et inversement. On ne se retrouve jamais autour d'une table pour décider de ce que l'on jouera le prochain coup. La seule chose que l'on s'est dit a été de donner une place plus importante aux guitares dans la production. C'est peut-être le côté plus puissant dont tu veux parler. Il n'y avait pas de stratégie particulière.


Mais le résultat est vraiment fluide ! Il y a des chansons heavy qui sont très bonnes mais il y a aussi des côtés mélodiques et accrocheurs sur des chansons comme 'In This Life', 'We Will Remember', 'Stay With Me'. Le côté plus pop et plus coloré de votre son prend plus d'importance ces dernières années. Vous avez l'air plus à l'aise de vous exprimer dans cette musique. Vous êtes à la croisée des chemins entre ça et la musique extrême. Dans cet album, ce mélange est très naturel !

Ça l'est !


Mais ça n'était pas autant le cas avant !

C'était le cas. On n'a jamais cherché quelque chose en particulier. A chaque fois, on essaie d'écrire le meilleur album possible à chaque moment de notre vie. Tu as écouté cet album au moment opportun. Peut-être que tu ne l'aurais même pas écouté il y a cinq ans. Cet album t'a trouvé quand tu avais besoin de l'écouter.


Tu ressens quelque chose de particulier en écoutant cet album ?

Je pense que c'est un excellent album.






J'ai grandi avec vous et j'ai découvert le death metal avec vous notamment, quand j'avais 13 ans. Vous avez joué un rôle très important dans ma culture musicale, c'est ce que j'ai dit à Björn la dernière fois.  Cet album tape en plein dans le mille. Il parvient à son but. Quand tu l'écoutes, tu n'as pas besoin de réécouter les chansons, ça fonctionne parfaitement, donc je me suis dit qu'il y avait peut-être quelque chose sur cet album.

Dans ce cas, ça veut dire qu'on a bien travaillé ! On n'écrit pas des singles, on écrit des albums. 'Voices' a été le premier morceau qu'on a composé, et c'est le premier morceau de l'album. Dès que j'ai entendu le riff d'intro, je me suis dit : "ça, c'est le morceau d'ouverture !". 'Stay With Me' a été la dernière chanson qu'on a faite, et tout ce qui est au milieu est là pour créer une dynamique. On t'a sûrement touché au bon moment, c'est ça la beauté de la musique, ça peut être magique !


En tout cas, tu peux nous faire confiance, vous avez fait du très bon travail sur cet album !

Merci ! Tout le plaisir est pour moi !


Merci beaucoup !

Merci !       


Merci à Noise pour sa contribution...                                                                                                                                                                                              



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